Trois jours.
Ce soir on part pour trois jours dans la Drôme, pour l'anniversaire de ta mère, C. Une chose : que Carole ne me fasse plus aucune réflexion mal placée, parce qu'elle va apprendre à ses dépend que je peux commencer à me battre si elle m'y pousse.
Il me reste six heures. Six heures pour
- Aller chercher les macarons au café où travaille C, à l'autre bout de la ville.
- Acheter le cadeau de B, la mère à C.
- M'épiler intégralement car piscine.
- Finir mon sac.
- Acheter 2-3 choses pour ce week end.
20:00 chez Mathou, et c'est parti pour deux heures de voiture minimum, avec E.
Deux heures de bagnoles toutes les trois, ça va être n'importe quoi, moi j'vous le dis.
Arlequin-and-tagada
Arlequin-et-Tagada
Vendredi 6 juin 2014 à 13:48
Jeudi 5 juin 2014 à 1:36
Tu sais quoi C, on passe trois jours à la campagne ensemble. J'te dirai tout ça en face, au bord de la piscine.
Jeudi 5 juin 2014 à 1:33
Tu sais C, je pense qu'il ne vaut mieux pas qu'elle soit penchée au dessus de ton épaule comme à son habitude lorsque tu lira ça. Tu sais C, je pense qu'il ne vaut mieux pas qu'elle lise ceci un jour; elle m'en voudrais; bêtement, mais elle m'en voudrais. Et elle t'en voudrais; bêtement également, mais elle t'en voudrais.
Tu sais C, j'aimerais ne jamais te perdre. J'aimerais ne jamais te perdre, parce que j'adore rire aux éclats avec toi, et rares sont ceux qui me font rire aux éclats aussi spontanément. Tu y arrive avec une telle facilité, ça coule de source comme on dit.
Je t'ai peut être menti un jour, quand je t'ai dis que je me battais toujours pour les gens avec qui j'ai envie d'être. La semaine où Carole est revenu, je ne me suis pas battu.
Je ne t'ai pas menti, en fait. J'ai juste oublié de finir ma phrase: je me bats toujours pour les gens avec qui j'ai envie d'être, sauf quand la décision vient d'elle. Et c'était le cas, le décision est venu de toi, je ne me suis donc pas battu. Et puis, il faut avouer que je n'étais pas de taille ça n'aurait servi à rien, je me serais battu dans le vide.
Tu sais C, je ne te parlerai plus jamais de la semaine où je ne me suis pas battu. Je ne t'en parlerai plus jamais parce que c'est quelque chose que j'aime beaucoup qu'il y a entre nous: notre faculté à relativiser et à tourner les pages des choses négatives pour se concentrer sur les moments positifs, parce qu'ils sont plus importants que le reste, après tout.
J'aimerais te dire une chose, tant que j'y pense. Tu sais C, j'ai peur d'une chose: te perdre "à cause" de Carole. Je sais que tu ne veux pas me perdre et ne pas perdre notre relation non plus. Je ne le souhaite pas non plus, et tu le sais. C'est la seule chose qui me fait peur actuellement. Je le vois bien que Carole fait énormément d'effort pour supporter ma présence, parce que sa jalousie ne la quitte jamais, et je ne lui reproche en rien. Elle me supporte, elle fait avec parce qu'elle ne veut pas te demander de ne plus me voir. Mais, elle en crève d'envie, au fond d'elle. Et je ne lui reproche en rien. Mais ça me fait peur. Je sais bien que tu vas me répondre "Ca n'arrivera jamais, personne ne me dis qui voir et qui ne pas voir, pas même Carole." Je sais bien, je sais bien... Mais, sait-on jamais, tout peut arriver. Saches-le, je ne veux vraiment pas te perdre, ni toi, ni notre relation.
Tu sais, si je remonte aussi bien la pente ces derniers mois, c'est en grande partie grâce à toi. Tu me fais tellement vivre depuis cette année. Je récupère une rage de vivre, une ambition de dingue, un assurance, une confiance en moi. Alors, tout ça pour te dire merci. Merci pour cette amitié de dingue, merci pour ces deux semaines ensemble, merci de m'avoir dit que tu ne voulais pas me perdre même une fois que c'était fini. Merci de me faire avancer, merci de me faire tant rire, merci de me faire tant aimer vivre. Merci pour ta simplicité et la simplicité que tu apporte à ma vie. Tu me fais grandir.
Tu sais C, j'aimerais ne jamais te perdre. J'aimerais ne jamais te perdre, parce que j'adore rire aux éclats avec toi, et rares sont ceux qui me font rire aux éclats aussi spontanément. Tu y arrive avec une telle facilité, ça coule de source comme on dit.
Je t'ai peut être menti un jour, quand je t'ai dis que je me battais toujours pour les gens avec qui j'ai envie d'être. La semaine où Carole est revenu, je ne me suis pas battu.
Je ne t'ai pas menti, en fait. J'ai juste oublié de finir ma phrase: je me bats toujours pour les gens avec qui j'ai envie d'être, sauf quand la décision vient d'elle. Et c'était le cas, le décision est venu de toi, je ne me suis donc pas battu. Et puis, il faut avouer que je n'étais pas de taille ça n'aurait servi à rien, je me serais battu dans le vide.
Tu sais C, je ne te parlerai plus jamais de la semaine où je ne me suis pas battu. Je ne t'en parlerai plus jamais parce que c'est quelque chose que j'aime beaucoup qu'il y a entre nous: notre faculté à relativiser et à tourner les pages des choses négatives pour se concentrer sur les moments positifs, parce qu'ils sont plus importants que le reste, après tout.
J'aimerais te dire une chose, tant que j'y pense. Tu sais C, j'ai peur d'une chose: te perdre "à cause" de Carole. Je sais que tu ne veux pas me perdre et ne pas perdre notre relation non plus. Je ne le souhaite pas non plus, et tu le sais. C'est la seule chose qui me fait peur actuellement. Je le vois bien que Carole fait énormément d'effort pour supporter ma présence, parce que sa jalousie ne la quitte jamais, et je ne lui reproche en rien. Elle me supporte, elle fait avec parce qu'elle ne veut pas te demander de ne plus me voir. Mais, elle en crève d'envie, au fond d'elle. Et je ne lui reproche en rien. Mais ça me fait peur. Je sais bien que tu vas me répondre "Ca n'arrivera jamais, personne ne me dis qui voir et qui ne pas voir, pas même Carole." Je sais bien, je sais bien... Mais, sait-on jamais, tout peut arriver. Saches-le, je ne veux vraiment pas te perdre, ni toi, ni notre relation.
Tu sais, si je remonte aussi bien la pente ces derniers mois, c'est en grande partie grâce à toi. Tu me fais tellement vivre depuis cette année. Je récupère une rage de vivre, une ambition de dingue, un assurance, une confiance en moi. Alors, tout ça pour te dire merci. Merci pour cette amitié de dingue, merci pour ces deux semaines ensemble, merci de m'avoir dit que tu ne voulais pas me perdre même une fois que c'était fini. Merci de me faire avancer, merci de me faire tant rire, merci de me faire tant aimer vivre. Merci pour ta simplicité et la simplicité que tu apporte à ma vie. Tu me fais grandir.
Jeudi 29 mai 2014 à 1:59
Tu sais C, je suis là, je ne bouge pas. Notre relation non plus ne bouge pas, elle reste là, intacte. Alors concentre toi sur toi, un minimum de temps, au moins.
Tu sais C, je suis comme ça, j'ai toujours été comme ça, et personne ne me changera, n'ai crainte. Je m'adapte toujours, lorsque je sais que ça en vaut la peine. Parce que la vie est trop courte, et qu'elle au moins en vaut la peine.
Tu sais C, je suis comme ça, j'ai toujours été comme ça, et personne ne me changera, n'ai crainte. Je m'adapte toujours, lorsque je sais que ça en vaut la peine. Parce que la vie est trop courte, et qu'elle au moins en vaut la peine.
Jeudi 29 mai 2014 à 1:49
Oui, j'ai supprimé tous les anciens articles.
On reprend.
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