Arlequin-and-tagada

Arlequin-et-Tagada

Mardi 11 janvier 2011 à 22:37

- Dis moi toutes les atrocités que tu souhaite. Dis moi que tu ne m'aime pas. Dis moi que je te gonfle. Dis moi que tu ne veux pas sortir avec moi. Dis moi que

Lundi 10 janvier 2011 à 14:39

 Tout a commencé par "Ah, et il fallait que je te parle aussi, avant de partir !". Une clope au bec, tu fais mine de réfléchir, de chercher tes mots. Des mots pas trop blessants, des mots qui "passent". J'attends, et plus j'attends plus tu me fais stresser. Je tire une longue bouffé de ce tabac de merde que tu as déniché au fond du tiroir, dégueulasse, mais bourré de nicotine; ça fera l'affaire. Tu tire une taf, me regarde. "On n'est pas ensemble, hein ?". J'acquiesce. Non, on n'est pas ensemble. Mais ça je le savais déjà, inutile de répéter à quelle point c'est une tragédie grecque, toi et moi. Et te voilà parti dans des justifications que jamais je n'aurais voulu entendre. Tu vois, M, c'est le genre de justifications que tu garde pour toi quand tu vois que mon visage se décompose et coule par terre au file des mots que ta bouche sort. Non ? On continu ? Ah, bon bah on continu. C'est reparti pour tes explications, tes justifications dont je me fou royalement parce qu'elle me font mal et que c'est plus facile de fuir.
Je me fou de savoir que tu as galéré avec Lena, que tu t'es prit la tête pour elle durant des mois. Je me fou de savoir ça parce que j'aurais aimé que ça reste comme il y a deux semaines, quand tu m'as dragué comme au bon vieux temps. 
"Donc, on se voit quand on veut se voir, et puis voilà, pas de prise de tête !" Jusque là ça allait, à peu près.
"Et puis viendra le moment où tu trouvera quelqu'un, et moi aussi je trouverai quelqu'un" avec ton super sourire. Je t'avoue qu'à ce moment là, mes genoux ont flanchés, et j'ai cru que j'allais tomber. 

Alors, je me pose une petite question. Mon cher et tendre, est ce que tu es tout simplement con et n'as-tu strictement rien comprit, ou fais-tu semblant de n'avoir rien comprit pour mieux me faire comprendre ce qu'il en était ? Parce que dans les deux cas, c'est du grand art; et on en revient au même de toutes façons. 

"Je suis désolé de te dire tout ça, ça se dit vraiment pas" Non... non... pas de problème... dis toi tout simplement que j'ai juste une toute petite phrase restée en travers de la gorge, et que la prochaine fois qu'on fera l'amour, je risque de te mordre inconsciemment à un endroit... douloureux; mais vraiment douloureux. 


You've not heard a single word I have said... Oh, my God.

PS : "We gotta fight fight fight for this love". Dans un clip, en talons aiguilles, c'est tellement plus simple. Fight toi avec lui toute seule, Cheryl. ~ 

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Mardi 4 janvier 2011 à 22:33

- Mmmm, toi, je t'emmerde, c'est ça ? Oui.
- Papa, Maman, voilà, j'ai les deux pieds dedans. 
- Poison.

«Mais, si le ciel ne me tombe pas sur la tête. Si la lune a comme un air de fête. Si la neige ne fond pas au printemps, alors j'aurais peut être le temps»

Dimanche 2 janvier 2011 à 19:41

« Toujours avoir sur soi de quoi payer l'amende.Toujours avoir du feu quand on te le demande. Et s'il te vient parfois des phrases pas trop moches. Alors, toujours avoir un stylo dans la poche. Et essayer, pourquoi pas, d'être un bon écrivain. Se foutre du sommet, se foutre du ravin. Être seul au besoin, assumer, être digne. Lire la ligne à Léo puis aller à la ligne. Des points cardinaux ne jamais perdre le Sud. Être insolent et promettre de perdre l'habitude. Être un mauvais exemple et suivre une bonne étoile. Puis s'amuser à faire chier l'araignée sur sa toile. Se sentir bien partout ou nulle part être déphasé. Noter des trucs partout pour s'immortaliser. Pas se pointer aux exams et être satisfait. Enfin quoi ! Me dis pas que tu l'as jamais fait ? Bien sûr que je tiens plus que tout à la vie qui continue. Maintenant que je vois les trucs invisibles à l'œil nu. J'embrasse deux fois plus Léo, je donne un peu, j'écoute. J'ai tendance à rouler au milieu de la route. J'oubliais, saouler mais rendre heureuse la fille que t'aime. Moi, c'est Léo, je permets pas qu'on rende heureuse la même. Tu sais, Léo, souvent j'me marre tout seul à haute voix. Je te cherche des yeux pour rire avec toi.» 

 
 
http://arlequin-and-tagada.cowblog.fr/images/LoveStorybycomplejo.jpg

Dimanche 2 janvier 2011 à 16:41

 Ceci est la continuité du blog Gauloise-Blonde-Rouge

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