Arlequin-and-tagada
Arlequin-et-Tagada
Mardi 26 mars 2013 à 1:57
Here I go, so dishonestly leave a note for you my only one, and i know you can see right through me so let me go and you will find someone.
Dimanche 17 mars 2013 à 14:32
J'suis pas douée pour écrire mes pensées. Pourtant, si tu savais comme je pense.
Ma seule manière d'écrire mes pensées c'est de crée une mélodie sur un piano.
J'en écrirai une pour toi, je te le promets.
Ma seule manière d'écrire mes pensées c'est de crée une mélodie sur un piano.
J'en écrirai une pour toi, je te le promets.
Lundi 28 janvier 2013 à 20:08
- Pourquoi tu m'as fais ça ? Pourquoi tu ne m'as plus parlé du jour au lendemain ? Pourquoi tu m'as laissé tombé ? Après tout ce temps passé ensemble.
- Parce que j'ai voulu construire une amitié entre nous après tout ce qui est arrivé, après tout ce temps passé ensemble comme tu dis. Mais malgré tes dires, tu n'en as jamais voulu. J'en ai eu marre de me battre pour un fantôme. Tu voulais quoi toi ?
- Comment ça ?
- Je voulais qu'on ai cette putain d'amitié. On avait longtemps essayé de construire quelque chose de plus, sans succès. Je voulais que ce soit enfin fini entre nous cette ambiguité que tu as toujours entretenu. Ces sentiments dont tu n'as jamais voulu. Tu voulais quoi toi ?
- Je ne préfère pas répondre.
- Tu voulais juste qu'on couche ensemble, c'est ça ?
- Non, je voulais l'oublier et construire quelque chose avec toi.
- Tu m'as dis droit dans les yeux que tu ne m'aimais plus.
- Quelle fois ?
- Toutes les fois depuis qu'on en a terminé, définitivement terminé avec le moindre sentiment, la moindre émotion.
- Ca a du changé quand on s'est revu.
- Tu m'a évité, toute cette année là.
- C'en est la principale raison.
- Laquelle ?
- Les sentiments que je recommençais à avoir pour toi.
- Tu pensais que je dirais non ?
- Quand j'ai pensé te le dire, un autre était entré dans ta vie.
- Certes.
- Donc, voilà.
- Et maintenant ? T'as refais ta vie ? T'es heureux ?
- T'as quelqu'un dans ta vie, tu t'en fous..
- J'te le demande quand même.
- Ca changera quoi ? Rien.
- T'as qu'à répondre au lieu de tourner autour du pot.
- T'as qu'à répondre ? Tu m'as ignoré pendant six mois.
- Parce que tu m'évitais depuis des mois. Je te l'ai dis, j'en avais marre de me battre pour un fantôme. Dis-moi.
- Te dire quoi ?
- Et maintenant ? Tu ressens quoi maintenant ?
- Dis moi déjà ce que ça changerait de te le dire.
- Je ne peux pas savoir sans connaitre ta réponse.
- Je ne répondrais pas.
Comme c'est prévisible.
[T'avais six ans. Six ans pour me dire que tu voulais construire quelque chose avec moi. T'avais six ans, pourquoi t'en as passé quatre à me briser le coeur et me tordre de douleur. Tu m'as fais souffrir, vraiment souffrir. Tu m'as fais tellement mal pendant quatre ans. T'avais six ans, pourquoi t'as passé les deux années qui ont suivit à m'éviter ?
Tu as passé six ans a me briser le corps, le coeur, la tête. Tu as retourné mon esprit dans tous les sens et tu en as fait de la bouillie. T'as été un vrai malade.
Et au bout du compte, c'est ça ton je t'aime, à la fin de l'histoire ? Me dire que ça te brise de coeur que depuis six mois je t'évite alors que pendant six ans tu t'es tu ! Tu te réveille au bout de sept ans, en tout. SEPT ANS.
Dis-le ! Tu sais quoi ? Dis-le que tu m'aimes, que j'te remette bien en pleine face que malgré tout ce que tu m'as fais pendant six ans, j'ai réussi à me reconstruire, et j'ai tellement sué, j'en ai tellement chié pour tout ça, pour être avec lui, pour que lui et moi on construise quelque chose. Si tu savais comme je m'en fous que tu m'aimes et que tu ouvre les yeux sept ans plus tard. Oh mais si tu savais comme je m'en fous. Si tu savais comme je suis heureuse avec lui, si tu savais comme il est tout ce que tu n'as pas été et ce que tu ne sera jamais. J'vais te le faire cracher ce putain de morceau. Oh si, tu y répondra.
Si tu savais comme je te balance ces sept années et mon bonheur à la gueule. ]
- Parce que j'ai voulu construire une amitié entre nous après tout ce qui est arrivé, après tout ce temps passé ensemble comme tu dis. Mais malgré tes dires, tu n'en as jamais voulu. J'en ai eu marre de me battre pour un fantôme. Tu voulais quoi toi ?
- Comment ça ?
- Je voulais qu'on ai cette putain d'amitié. On avait longtemps essayé de construire quelque chose de plus, sans succès. Je voulais que ce soit enfin fini entre nous cette ambiguité que tu as toujours entretenu. Ces sentiments dont tu n'as jamais voulu. Tu voulais quoi toi ?
- Je ne préfère pas répondre.
- Tu voulais juste qu'on couche ensemble, c'est ça ?
- Non, je voulais l'oublier et construire quelque chose avec toi.
- Tu m'as dis droit dans les yeux que tu ne m'aimais plus.
- Quelle fois ?
- Toutes les fois depuis qu'on en a terminé, définitivement terminé avec le moindre sentiment, la moindre émotion.
- Ca a du changé quand on s'est revu.
- Tu m'a évité, toute cette année là.
- C'en est la principale raison.
- Laquelle ?
- Les sentiments que je recommençais à avoir pour toi.
- Tu pensais que je dirais non ?
- Quand j'ai pensé te le dire, un autre était entré dans ta vie.
- Certes.
- Donc, voilà.
- Et maintenant ? T'as refais ta vie ? T'es heureux ?
- T'as quelqu'un dans ta vie, tu t'en fous..
- J'te le demande quand même.
- Ca changera quoi ? Rien.
- T'as qu'à répondre au lieu de tourner autour du pot.
- T'as qu'à répondre ? Tu m'as ignoré pendant six mois.
- Parce que tu m'évitais depuis des mois. Je te l'ai dis, j'en avais marre de me battre pour un fantôme. Dis-moi.
- Te dire quoi ?
- Et maintenant ? Tu ressens quoi maintenant ?
- Dis moi déjà ce que ça changerait de te le dire.
- Je ne peux pas savoir sans connaitre ta réponse.
- Je ne répondrais pas.
Comme c'est prévisible.
[T'avais six ans. Six ans pour me dire que tu voulais construire quelque chose avec moi. T'avais six ans, pourquoi t'en as passé quatre à me briser le coeur et me tordre de douleur. Tu m'as fais souffrir, vraiment souffrir. Tu m'as fais tellement mal pendant quatre ans. T'avais six ans, pourquoi t'as passé les deux années qui ont suivit à m'éviter ?
Tu as passé six ans a me briser le corps, le coeur, la tête. Tu as retourné mon esprit dans tous les sens et tu en as fait de la bouillie. T'as été un vrai malade.
Et au bout du compte, c'est ça ton je t'aime, à la fin de l'histoire ? Me dire que ça te brise de coeur que depuis six mois je t'évite alors que pendant six ans tu t'es tu ! Tu te réveille au bout de sept ans, en tout. SEPT ANS.
Dis-le ! Tu sais quoi ? Dis-le que tu m'aimes, que j'te remette bien en pleine face que malgré tout ce que tu m'as fais pendant six ans, j'ai réussi à me reconstruire, et j'ai tellement sué, j'en ai tellement chié pour tout ça, pour être avec lui, pour que lui et moi on construise quelque chose. Si tu savais comme je m'en fous que tu m'aimes et que tu ouvre les yeux sept ans plus tard. Oh mais si tu savais comme je m'en fous. Si tu savais comme je suis heureuse avec lui, si tu savais comme il est tout ce que tu n'as pas été et ce que tu ne sera jamais. J'vais te le faire cracher ce putain de morceau. Oh si, tu y répondra.
Si tu savais comme je te balance ces sept années et mon bonheur à la gueule. ]
Jeudi 3 mars 2011 à 23:06
- Quand est-ce que tu m'as oublié ? Sincèrement.
On n'oubli pas les gens; on passe à autre chose, on évolue sans elles. Et on tente de se reconstruire.
On n'oubli pas les gens; on passe à autre chose, on évolue sans elles. Et on tente de se reconstruire.
Dimanche 6 février 2011 à 14:31
Je me force. Tu n'imagines pas tous les efforts que je fais pour paraître la plus heureuse possible avec toi. Tu n'imagines pas comme c'est difficile sans cette partie de moi. Je ne sais pas où elle est, mais il faut absolument que je remette la main dessus, ou que je puisse au moins la fabriquer de nouveau. Mais est-ce seulement possible; je n'en ai pas l'impression. Nous verrons bien.